Les grands principes du "bio" il ne suffit pas d’être agriculteur pour pouvoir s’autoproclamer bio.
utilisation des produits chimiques et des OGM est proscrite.
l'accés au marché du bio demande une certification délivrée par un organisme indépendant qui autorise l’apposition sur les produits d’une des licences européenes. On compte parmi les plus connues : Agriculture Biologique (AB), Nature et Progrès, Demeter. Chaque licence a son propre cahier des charges auquel doivent adhérer les entreprises.
ces cahiers des charges sont homologués par l’Etat français et/ou l’Union Européenne et les productions font l’objet, au moins une fois par an, d’un contrôle par un organisme extérieur.
la démarche est de respecter la nature et les animaux.
Etre écolo, c’est aussi penser au recyclage : les emballages sont réduits mais aussi non polluants.
20% de plus par rapport aux produits traditionnels, c’est le prix à payer pour vivre bio. Une augmentation essentiellement liée aux rendements plus faibles que dans l’agriculture intensive ayant recours aux engrais chimiques. Les coûts de production restant élevés, ils se répercutent, au bout de la chaîne, sur le consommateur.